Les réunions ennuyeuses, ça existe, et ce n’est pas rare.
Une moitié de la salle regarde ses mails, l’autre pense à son prochain changement de job.
J’avoue, je grossis volontairement le trait pour souligner la lourdeur que cela peut représenter.

Si j’invite souvent les personnes à appliquer la loi des deux pieds, je souhaite proposer ici une manière de contribuer activement, car je crois profondément que tout le monde peut apporter sa pierre pour faire évoluer ça.

La posture du consultant coach fait souvent l’objet de discussions théoriques ou de débats de spécialistes. Certains y voient un observateur neutre, d’autres un facilitateur bienveillant, ou encore un accompagnateur qui se tapit dans l’ombre. Mais sur le terrain, face à l’urgence, la complexité et les difficultés des rapports humains, cette posture prend une toute autre dimension.
Elle devient mouvante, incarnée, très souvent inconfortable… mais surtout à valeur.

Dans cet article, je vous propose un regard concret sur cette posture à travers des situations réelles, et anonymisées, d’accompagnement.

Il y a un an, je franchissais la porte d'aqoba un peu comme on entre dans un vestiaire après un match compliqué. Le souffle court, l'envie de bien faire... et cette question qui me collait à la peau : est-ce que je vais vraiment trouver ma place ici ?

Ce que je ne savais pas encore, c'est qu'ici, on ne joue pas en solo.
Chez aqoba, chaque mission est une mêlée : ça pousse fort, ça s'encourage et ça se relève ensemble quand ça tangue.
Ici, pas de décor en carton. Pas de façade polie. Juste des gens qui avancent, qui doutent, qui rient et qui ont la rage de bien faire.